développement personnel

Connaître son but d’incarnation en 4 étapes

Bonjour mes petits chéris, aujourd’hui, je souhaite partager avec vous un plan pour vous aider à trouver votre but d’incarnation.

On se demande tous à un moment ou à un autre ce qu’on a bien pu venir faire dans cette galère. La vie nous fait passer, au moins au départ, par des étapes difficiles et des périodes de remise en question très douloureuses à franchir, émotionnellement parlant (mais les répercussions sont parfois physiques).

En ce moment — vous le ressentez peut-être aussi —, les énergies sont abondantes, les choses s’accélèrent. Il faut passer la vitesse supérieure et c’est pourquoi des connaissances qui, autrefois, n’étaient réservées qu’à des initiés, deviennent aujourd’hui accessibles grâce à des plus en plus de médiums, de voyants, d’astrologues et de personnes accomplies qui partagent leurs connaissances plutôt que de se les garder jalousement.

La réussite dans la vie, elle commence par vous.

Parce que lorsque vous vous êtes enfin révélé à vous-même, alors vous pouvez enfin vivre comme vous l’entendez.

Vous voulez connaître le pourquoi, commencez à connaître le qui.

 

Qui suis-je ?
Un homme ? Une femme ? Non, je ne suis pas un sexe.
Un secrétaire, une comptable, un agent d’entretien ou un notaire ? Non, je ne suis pas une profession.

Qui suis-je vraiment ?

Pour le découvrir, je vous donne ici un chemin en 4 étapes.

 

Première étape : les croyances limitantes

Toute votre enfance, les premières années de votre vie, parfois jusqu’au début de l’âge adulte, vous vous êtes forgé(e) des croyances limitantes.

Vous avez vécu des expériences, écouté les gens parler en vous imprégnant de leurs propres croyances et certitudes, vous avez subi vos premiers échecs, vécu vos premières expériences, été grondé(e) peut-être ; vous avez interprété les choses à votre façon ; et tout cela s’est mélangé pour former tout un amas de croyances limitantes.

« Je suis un bon à rien. » (réprimande des parents ou du prof)
« Je suis nul, je ferais mieux de crever. » (méchancetés des camarades)
« Je ne peux pas réussir. » (mauvaises notes à l’école, associée à la perspective de rater ses examens)
« On ne m’écoute pas, je ne suis pas intéressant. » (difficulté à s’insérer dans un groupe)
« Je suis laid, on ne m’aimera jamais. » (comparaison à autrui et aux standards de beauté)

Tout un assortiment de mécanismes inconscients se mettent peu à peu en place dans votre tête et votre mental. Ils y resteront tant que vous n’en aurez pas pris conscience et vous limiteront dans vos choix et dans vos actions, donc dans toute votre vie.

Le début de votre vie vous voit donc subir un conditionnement profond. Soumis(e) à toutes sortes d’influences, vous grandissez sous une forme altérée, qui n’est pas la vôtre, mais celle dans laquelle on a voulu vous ranger.

Ce on, ce n’est pas un esprit malveillant qui vous en veut, ni même la société. Ce sont simplement toutes les personnes de votre entourage qui vont déverser autour d’elles leurs propres croyances limitantes, leurs certitudes erronées, les effets de leurs blessures pas encore comprises ni guéries.

Mais ce n’est pas leur faute, car ils ne le font pas consciemment. Ils reproduisent seulement les schémas dans lesquels ils sont enfermés, même quand ceux-ci sont violents. La société est imparfaite, mais n’oubliez jamais que ce sont les individus qui constituent la société.

Une fois que vous avez compris cela, c’est à votre tour de jouer.

 

Deuxième étape : le déclic

L’étape du déclic commence avec le sentiment que la vie que vous menez n’est pas réellement la vôtre. Que c’est une vie que vous n’avez acceptée que pour être en conformité, mais qu’au plus profond de vous, vous aspirez à autre chose, sans savoir vraiment quoi.

Vous sentez, sans pouvoir vous l’expliquer, que vous passez à côté de votre vie, que vous n’êtes pas réellement qui vous devez être. C’est une sensation de malaise latent, diffus, le sentiment de n’être pas vraiment à votre place. Mais comme c’est très dur à admettre, vous entrez en lutte contre vous-même, à tenter de réprimer tout cela, en renforçant le mensonge pour rester dans cette routine pourtant insatisfaisante.

Mais les signes se multiplient. L’Univers vous parle à travers divers signes qu’il vous envoie, des événements récurrents, des rêves, des rencontres fortuites. Vous commencez à voir de plus en plus de choses qui sont comme des invitations à aller explorer de nouvelles pistes, de nouveaux horizons.

Vous sentez qu’une autre vie vous appelle, plus vibrante, plus authentique.

Mais si vous continuez à vous mentir, alors les chocs se succèdent, les déboires s’accumulent : licenciements, accidents, ruptures sentimentales… Les problèmes s’accumulent. Le faux monde se désagrège peu à peu pour vous encourager à reconstruire autrement.

Rassurez-vous toutefois, ces exemples extrêmes ne se produisent pas pour tout le monde. On n’a pas tous besoin d’un choc important pour comprendre, parfois, des récurrences suffisent à produire le déclic.

 

Troisième étape : le réveil

Dans la découverte de votre but d’incarnation, le véritable départ, c’est quand vous prenez conscience que votre vie actuelle, que votre façon de faire, que les objectifs que vous avez adoptés, que le masque dont vous avez couvert votre identité, que rien de tout cela ne correspond vraiment à vos aspirations ni à qui vous êtes réellement.

Vous réalisez que la vie conventionnelle — et frustrante par de nombreux aspects — que vous avez menée jusqu’ici n’est faite que de mensonges de vous à vous. Jusqu’ici, vous avez fait comme on vous a dit, vous avez fait comme tout le monde, vous avez fait selon l’image qu’on vous renvoyait de vous ; mais cela vous apparaît pour la première fois de façon éclatante, et cela vous cause une profonde douleur.

Peu à peu, vous prenez conscience que ce que vous avez construit jusqu’ici n’était qu’un leurre, et que votre véritable valeur est ailleurs. Vous entrez alors dans la nuit noire de l’âme ; cette période où vous allez lutter férocement contre vos propres démons, cette période qui s’apparente à une chute sans fin, cette période où l’horizon de votre vie apparaît couvert d’un voile obscur. Vous vous retrouvez face à un sentiment de gâchis monumental, de perte, d’échec.

Comprendre que la vie qu’on a menée jusqu’ici n’était pas la bonne, qu’on ne s’est pas accordé autant d’amour et d’écoute qu’il l’aurait fallu, c’est une perspective déroutante, angoissante, et même insupportable.

Cette prise de conscience est très dure à supporter. Elle peut même être si dur que cela s’apparente à un deuil, avec ses 5 phases d’acceptation :

  1. Déni
  2. Colère
  3. Marchandage
  4. Dépression
  5. Acceptation

Le risque ici est de rester coincé dans le déni en se disant :

« Tant pis, je vais faire avec. »
« C’est trop tard pour changer. »
« C’est la vie… »

Et toutes sortes de phrases fatalistes qui s’apparentent à une sorte de suicide par la résignation.

Il faut du temps pour qu’espoir émerge de nouveau après un tel choc.

Et puis finalement, après un certain temps, vous décidez d’y aller. Même si c’est dur, même si vous êtes complètement paumé(e), même si vous vous cognez de partout, comme si vous faisiez une nouvelle crise d’adolescence — cette période où le corps change à toute vitesse et où il faut se réadapter constamment —, mais mentale et spirituelle, cette fois.

Dès lors que vous êtes décidé(e) à trouver votre voie, c’est une véritable quête spirituelle qui commence. Allez-y avec force et avec foi, même si vous n’avez pas encore la moindre idée de la destination.

Vous allez apprendre à suivre vos intuitions, à écouter vos émotions, à ressentir l’énergie qui vous traverse à certains moments précis ou en face de certaines fréquentations. Tout cela vous guidera.  Tout cela vous aidera dans cette démarche de résurrection, de renouveau, pour vous donner les moyens de vivre la vie que vous voulez vraiment.

 

Etape 4 : vraie réalisation

La vraie réalisation, c’est quand vous avez réussi à vous dépouiller toutes vos croyances limitantes, que vous avez réussi à vous dépouiller du masque qui couvre votre identité réelle, et de tous les artifices qui constituaient cette fausse vie que vous meniez ; cette fausse vie imposée par d’autres et imposées par vos croyances limitantes.

Vous avez retiré toutes ces couches de fausseté qui couvraient votre être en empêchant votre lumière de briller. Et de cette manière, vous vous êtes retrouvé.

À présent que votre énergie n’est plus comprimée par le mensonge, la contrainte ou la peur, elle peut resplendir, et vous devenez un véritable rayon de soleil. Vous vous sentez aligné(e), à votre place. Vous faites exactement ce qu’il convient de faire, changer quand il le faut, et cela vous apporte du bonheur. Cela n’a pas besoin d’être extraordinaire ou spectaculaire ; mais c’est beau parce que c’est vous — authentiquement vous.

Bien dans mon cœur, bien dans mon corps, bien dans mon âme. Vous vibrez différemment. On ne vous reconnaît plus, mais on vous découvre heureuse, épanoui(e), resplendissant(e). Alors on est heureux pour vous et vous devenez une source d’inspiration. Et un cercle vertueux se met en place, pour permettre à de plus en plus d’âmes de guérir, pour permettre à de plus en plus de personnes de trouver leur voie, de se retrouver elles-mêmes.

 

Voilà les 4 étapes grâce auxquelles vous connaitrez votre but d’incarnation.

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